F.A.I.B

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bruxelles, Belgium
L'islam se radicalise chaque jour un peut plus dans notre pays et en Europe . Les politiques de droite comme de gauche ferment les yeux . Notre but est de lutter contre cette radicalisation liberticide . Nous sommes apolitiques et non raciste . nous défendons notre démocratie et la laïcité

vendredi 25 février 2011

Des bébés sont lapidés à mort sur ordre d’un imam.

Des sauvages ? Des barbares ? Des fous sanguinaires ?
Quels noms donner à des fous qui massacrent des bébés à coups de pierres parce que nés en dehors du mariage.
Avez-vous entendu un de nos dirigeants politiques s'élever contre cette barbarie?
Avez-vous entendu un responsable de la communauté musulmane s'indigner contre ces pratiques bestiales.
Tout cela au nom de d'Allah, pour suivre les traces d'un prophète sanguinaire qui en a fait bien d'autres…
Qu'attend-on encore pour fermer les mosquées, pour brûler les corans et autres écrits barbares, pour interdire la pratique d'une religion qui autorise de massacrer des bébés, des femmes… des êtres humains tout simplement… parce qu'il ne répondent pas aux critères imposés par le coran et par Mahomet, l'illuminé?
Le livre de Hitler, "Mein Kamf" est interdit à la vente dans les librairies, mais on peut y trouver librement des corans et autres livres musulmans qui contiennent bien plus d'appels au meurtre que n'en a jamais contenu "Mein Kampf".
Quelqu'un peut-il m'expliquer ? Un des défenseur de cette "religion de paix" peut-il me justifier le soutien qu'il lui apporte encore au vu de ces atrocités ? "Cela n'est pas l'islam, monsieur … Les musulmans sont des gens pacifiques, monsieur… Ne généralisez pas, monsieur… "  Mon c.. ! C'est l'islam! L'islam authentique! L'islam que Mahomet a enseigné et a montré en exemple et que chaque musulman doit s'efforcer d'imiter… Réveillez-vous bon dieu!

Je vous livre ci-dessous l'article de l'AFP.

Pierre, président de l'association NONALI pour l'Interdiction de l'Islam


 AFP  : Retrouvés dans une décharge de Karachi, les corps sans vie de deux nouveau-nés sont lavés une dernière fois avant d’être enterrés. Comme des centaines d’autres au Pakistan, où la crise économique pousse de plus en plus de familles à l’infanticide.
“Ils n’auront pas vécu plus d’un ou deux jours”, explique Mohammad Saleem, en désignant les deux tout petits cadavres essuyés avec soin par ses collègues de la morgue de la fondation Edhi à Karachi, la mégalopole du sud. L’infanticide ne cesse d’augmenter dans la conservatrice république islamique du Pakistan, où la naissance d’enfants hors mariage est condamnée et où l’adultère est passible de la peine de mort.
1.210 bébés ont été abandonnés ou tués dans le pays en 2010, contre 999 en 2009 et 890 en 2008, selon Edhi, qui tente de contrer cette tendance. La plupart sont âgés de moins d’une semaine. Des chiffres très partiels car collectés dans les principales villes du pays et n’incluant donc pas la majorité rurale de la société. Au cours du seul mois de décembre dernier, Edhi dit avoir trouvé 40 bébés morts dans les décharges et caniveaux.
Les récits morbides abondent dans les bureaux de la fondation. Entre autres exemples, son directeur à Karachi, Anwar Kazmi, cite le cas d’un enfant de six jours étranglé puis brûlé, un autre trouvé devant une mosquée après avoir été lapidé à mort à l’appel d’un imam qui a depuis disparu…
“Ne les tuez pas, déposez-les ici”, implore un poster affiché devant les locaux de la fondation, où des berceaux ont été installés à cet effet. “Les gens se débarrassent des enfants car ils les considèrent comme illégitimes, mais ce sont avant tout des êtres innocents qui ne demandent que de l’amour”, plaide Abdul Sattar Edhi, créateur de cette ONG aux multiples branches et figure humanitaire la plus célèbre du pays.
La fondation possède dans les faubourgs de la ville un cimetière parsemé de petites tombes anonymes. “Nous avons acheté ce terrain car le précédent était plein, rempli de centaines de corps”, précise son gardien, Khair Mohammad.
90% des enfants trouvés morts par Edhi sont des filles, souligne M. Kazmi. “Le nombre d’infanticides de filles a beaucoup augmenté” en raison des difficultés économiques de la population, aggravées par les gigantesques inondations de l’été dernier, explique-t-il.
Au Pakistan, les filles sont considérées comme un fardeau plus lourd pour les familles, la plupart des femmes ne travaillant pas et restant à la charge de leurs parents, puis de leur mari. Une famille, en outre, peut avoir à dépenser plus d’un million de roupies (près de 8.900 euros) pour marier une fille dans les règles.
Jusqu’à 200 bébés sont déposés chaque année dans les 400 berceaux installés par Edhi à travers le pays, selon la fondation, qui dit avoir reçu plusieurs milliers de demandes d’adoption par des couples sans enfants.
L’avortement est interdit au Pakistan, sauf lorsque la grossesse menace la vie de la mère. Certains estiment que sa légalisation réduirait le nombre d’infanticides et sauverait des femmes qui meurent en accouchant dans la rue.
Une personne reconnue coupable d’assassinat encourt théoriquement jusqu’à la peine de mort. L’abandon d’enfant peut coûter sept ans de prison, l’enterrement clandestin deux ans. Mais ces législations sont rarement appliquées. La plupart des commissariats de police n’enregistrent même pas les affaires d’infanticide”, note Abdul Rasheed, un avocat. “Alors enquêter dessus….”

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