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bruxelles, Belgium
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jeudi 3 février 2011

y a t'il un lien entre race et criminalité?

Voici le rapport d'une étude sociologique menée par le CNRS sur le lien entre race et criminalité...

Un chercheur publie une enquête qui révèle l'importance des délits commis par cette population. 

Novembre 2005, la France se réveille abasourdie après trois semaines d'émeutes. On évoque le malaise d'une jeunesse marginalisée. Mais tous les quartiers sensibles n'ont pas flambé. La carte des émeutes épouse celles des cités où vivent de larges familles africaines, constate à l'époque le sociologue Hugues Lagrange. Depuis, ce chercheur au CNRS a poursuivi son enquête auprès de 4 500 adolescents, de la banlieue parisienne, du XVIIIe arrondissement et d'une périphérie de Nantes. Les résultats, exposés dans Le Déni des cultures, paru la semaine dernière affinent son diagnostic : «Les jeunes Noirs français issus de l'immigration africaine, sont, à conditions sociales égales, 3 à 4 fois plus souvent mis en cause en tant qu'auteurs de délits que les autochtones. Ceux qui sont éduqués dans des familles maghrébines, deux fois plus.» Surreprésentés dans la délinquance, «ces enfants de familles subsahariennes présentent également, dès la maternelle, plus de difficultés d'apprentissage des fondamentaux», précise ce chercheur au CNRS, pour justement sortir du déni.
Car la sociologie française n'aime guère l'approche par les origines ou le «facteur culturel», perçue comme l'antichambre des théories raciales. Elle privilégie l'analyse sociale. Mais les temps changent. La démographe Michèle Tribalat vient de montrer la transformation radicale de certains quartiers en Île-de-France, sous la poussée d'une forte immigration subsaharienne. Vingt villes franciliennes présentent maintenant des concentrations exceptionnelles, avec un jeune sur cinq d'origine subsaharienne. À Grigny, dans l'Essonne, c'est un mineur sur trois.
(source : FIGARO.fr)

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